«Ma vie coule comme les chapitres de mes livres, mais je suis en retard, je n’arrive pas à écrire à mesure!» Dans son antre, Marius Daniel Popescu, qu’on était allé rencontrer pour les 20 ans de son journal Le Persil, avait punaisé au mur toutes les pages éparses de son roman à paraître. Une autobiographie qu’il émiette depuis La Symphonie du loup (2007) et dont voilà le troisième volet. Le retard est, provisoirement, rattrapé.