Des chercheurs mettent aujourd’hui en exergue un aliment clé promettant de paraître plus jeune après 40 ans. Leurs conclusions reposent sur des analyses rigoureuses, dont des marqueurs biologiques liés au vieillissement.
À 40 ans passés, le corps commence à manifester des signes visibles de relâchement : peau moins tonique, inflammation accrue, stress oxydatif qui gagne du terrain. Des scientifiques ont alors étudié comment certains composés alimentaires pouvaient agir durablement sur ces différents processus. Verdict : leur travail met en lumière les effets puissants de composés spécifiques d’un légume souvent négligé.
En effet, dans cette enquête, publiée dans la revue scientifique Molecules, les chercheurs ont exploré une vaste gamme de légumineuses afin de préciser leurs effets sur l’inflammation, le stress oxydatif et le métabolisme cellulaire. Le point d’intérêt porte donc sur les composés phénoliques et les anthocyanines, reconnus pour leur capacité à neutraliser les radicaux libres, réduire l’inflammation chronique et améliorer le fonctionnement des mitochondries. Des molécules qui jouent un rôle essentiel dans le ralentissement des mécanismes biologiques du vieillissement. Résultat, l’étude souligne qu’un type de légumineuse bien précis fournirait une concentration particulièrement élevée de ces polyphénols, capables d’intervenir efficacement sur plusieurs fronts physiologiques.
L’aliment à privilégier après 40 ans pour paraître plus jeune selon cette étude n’est autre que l’haricot rouge. L’analyse révèle en effet que cette légumineuse, riche en anthocyanines, contient des extraits dont l’activité antioxydante est très prononcée, avec des effets mesurés in vitro sur les marqueurs biomoléculaires du vieillissement. Ses extraits montrent une capacité d’élimination des radicaux similaires ou supérieures à d’autres sources de polyphénols bien établies et influencent positivement les processus métaboliques liés à l’insulinorésistance, la régulation lipidique et la protection vasculaire. Aucun autre aliment de ce type n’a présenté un tel profil combiné d’action anti-inflammatoire, antioxydante et métabolique dans l’échantillon étudié.
Il s’agit d’un allié redoutable face aux effets du temps. Intégrer régulièrement des haricots rouges à son alimentation pourrait contribuer à maintenir une peau plus ferme, soutenir le métabolisme cellulaire et limiter l’inflammation. Alors, entre le chili con carne et les salades d’été, ne vous privez pas !