« Gonzo », c’est le dernier album de Chilly Gonzales. Le compositeur de génie et pianiste hors pair présente un opus composé à 67,8 % de rap. Pour l’occasion, il emmène Toki Woki pianoter au centre Bechstein.

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Chilly Gonzales de son vrai nom Jason Charles Beck, est un pianiste hors pair qui s’est fait connaître du grand public avec l’album « Solo Piano » et son apparition à l’ouverture des Jeux paralympiques.

On le retrouve au centre Bechstein connu pour ses pianos haut de gamme, les préférés du musicien. Qu’il écrive, compose, chante, réalise, Chilly met le piano au centre de toutes ses créations.

Dans « Gonzo », l’artiste s’essaye au rap après avoir chanté en français : « C’est marrant parce que comme je fais très souvent de la musique instrumentale, là, ce sont les premières paroles que j’écris depuis 2011 avec l’album -French Kiss-« .

Dans un de ses titres, Chilly Gonzales met en exergue le sujet de la cancel culture en parlant à travers Wagner, »un monstre » et antisémite notoire de son époque, « j’aurais pu écrire sur R.Kelly ou Kanye West », confesse l’auteur.

Pour découvrir la suite de l’interview de Chilly Gonzales, découvrez « Toki Woki » sur notre site france.tv/idf