Sur le plan professionnel, tout sourit à
Daphné Bürki ! L’animatrice est d’ailleurs présente sur
France Inter dans Nouvelles
Têtes. Une nouvelle aventure sur laquelle la
présentatrice TV a bien voulu se confier à nos confrères de La
Tribune Dimanche, ce dimanche 24 août. La styliste en a
également profité pour revenir sur la mort de son compagnon,
David Hache, en avril 2024.
Rappelons que l’année dernière, l’artiste était déjà derrière la
cérémonie d’ouverture des
Jeux Olympiques de Paris 2024. Daphné Bürki était
notamment en charge des costumes. « Mon compagnon était encore
plus motivé que moi pour ces JO. Il rêvait tout en
grand« , confie-t-elle au média sur celui qui est
parti à seulement 42 ans.
Daphné Bürki : ce qui l’a aidé à tenir le coup
Perdre un être cher n’est jamais facile. Malgré tout, c’est avec
brio que Daphné Bürki a tenu son rôle lors des
JO de Paris, l’année dernière. Seulement, l’animatrice
de 45 ans avoue qu’il y a bien une raison derrière cette force dont
elle a été pourvue. « Lui, mes amis ainsi que
des choses invisibles m’ont fait
tenir », confie-t-elle.
Malgré tout, le deuil se poursuit pour la mère de famille qui
avoue : « Je ne suis plus la même et je vais désormais
devoir me retrouver« . « Parce qu’on
m’a séparée d’un des amours de ma
vie« , a-t-elle ajouté. Un an après la perte de cet
amour, qui a lui brusquement été arraché par la mort, Daphné Bürki
se concentre sur un « long travail de
deuil« .
Daphné Bürki : Le deuil… « une belle
connerie »
A nos confrères, Daphné Bürki explique que
cette étape est « un travail qui commence comme pour tous ceux
qui connaissent cet endroit si sombre ». D’ailleurs, l’actrice
avoue qu’elle ne croit pas trop au concept même du deuil.
« On ne fait pas son deuil, c’est une
belle connerie », balance-t-elle.
Après avoir tenu pendant plusieurs mois, Daphné Bürki avoue
devoir maintenant faire face au
« contrecoup« . « Et je l’ai eu, il y a
deux mois », confie-t-elle sur cette période qui a été suivie
d’une grande fatigue qu’elle a fini par accepter. Malgré tout, elle
reste debout pour
ses deux filles, Suzanne et Hedda. « Pour
elles, je n’ai pas le droit de flancher », paroles d’une
mère…