Chez Haas, Ocon souligne une culture basée sur la transparence et la franchise. Les problèmes sont abordés immédiatement et sans détour, ce qui permet d’éviter les erreurs répétées et d’avancer plus efficacement.

“Par rapport à ma précédente expérience, c’est un environnement sain. Personne ne se cache derrière quoi que ce soit. Si l’on fait mal quelque chose, on en parle en espérant que ça ne se reproduise pas. Et on en parle directement à la fin de la course. C’est bien, parce que si on n’en parle pas, comme je l’ai connu par le passé, alors ça recommence. C’est l’essentiel.” Explique Ocon, source : motorsport.com 

Une équipe motivée et impliquée

Le pilote français met aussi en avant la motivation générale qui règne dans l’écurie américaine. Contrairement à d’autres expériences passées, il perçoit une énergie collective intacte et une implication forte à tous les niveaux, des ingénieurs aux mécaniciens.

“Cette équipe est incroyablement motivée. Ça peut paraître fou, mais j’ai vu des gens qui n’étaient pas motivés par le passé, même en travaillant dans le paddock F1. C’est probablement ce qu’il y a de pire. Maintenant, je ne dis pas que tout est parfait. Il y a évidemment des choses que nous devons améliorer. Mais nous avons une base très solide pour travailler depuis que je suis arrivé, et on avance. Je suis ravi de la manière dont ça se passe.” Témoigne l’ancien pilote Alpine, source : motorsport.com 

Ocon prend pour exemple la rapidité avec laquelle Haas répond à ses besoins techniques, comme le développement accéléré d’éléments adaptés à son pilotage. Cette capacité d’adaptation renforce sa confiance et confirme qu’il évolue dans un environnement plus sain et plus productif.

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Haas : Ocon salue un environnement de travail sain et motivant


Depuis son arrivée chez Haas, Esteban Ocon met en avant une atmosphère positive et constructive. Le Français insiste sur la transparence de l’équipe et sur la motivation intacte de ses membres, des éléments qui contrastent fortement avec son expérience passée chez Alpine.

Rédacteur

Victor Teyssier