Un concert en Allemagne (Brême) le mardi, un autre en Italie (Città di Castello) le dimanche et entre les deux, une représentation à Saint-Victor-sur-Loire. Comment gérez-vous tous ces déplacements internationaux ?
« C’est toute l’année comme ça : des concerts et des voyages. Et toujours autour de projets différents. Cet été, j’ai fait des représentations en solo, des concerts avec des big bands en Sicile et en Autriche, des concerts avec des orchestres symphoniques… Ça fait rire les gens mais moi ce qui me fatigue, c’est le repos. Quand je suis à la maison, que je sens que l’adrénaline redescend et que je commence à être fatigué, j’éprouve, comme un appétit qu’il faut assouvir, le besoin de jouer du piano, de l’accordéon, de régler mes instruments. »
« Je vais avoir 75 ans mais dans ma tête j’ai toujours quinze ans »
Comment avez-vous été approché par le festival BWd12 ?
« Je suis très ami avec Nicolas Dautricourt (le violoniste international fait partie de l’équipe fondatrice du festival…