Aujourd’hui à 00h29
Le Premier ministre estime ne pas pouvoir « aujourd’hui, a priori » obtenir la confiance des députés
Ce direct consacré à l’annonce faite par François Bayrou d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale le 8 septembre est désormais terminé.
Invité sur le plateau de TF1 ce mercredi, le Premier ministre François Bayrou estime qu' »aujourd’hui, a priori, on ne peut pas obtenir la confiance » des députés.
François Bayrou a notamment insisté sur la nécessité « d’un accord », plutôt que « passer en force. Ce dernier s’est aussi dit « prêt à discuter mesure par mesure ».
Il précise toutefois être prêt « à discuter sur tous les sujets sauf sur un: l’effort qu’on doit faire pour sortir du surendettement ». Merci de nous avoir suivis sur BFMTV.com.
Hier à 22h47
Éric Coquerel dénonce « le catastrophisme » de François Bayrou sur la situation financière de la France
Le député insoumis Éric Coquerel sur BFMTV dénonce sur BFMTV « le catastrophisme » de François Bayrou sur la situation financière du pays. Pour le président de la commission des finances à l’Assemblée nationale, « les taux d’intérêts n’explosent pas » et « la France est encore un placement sûr ».
« La politique menée depuis 2017, et plus encore depuis deux ans, est en train d’aggraver la situation économique et de créer le chaos. C’est ça qu’il faut arrêter de toute urgence », selon Éric Coquerel.
Hier à 21h52
Marine Tondelier se dit « extrêmement choquée » par la prise de parole de François Bayrou qui « fait perdre du temps à tout le monde »
Chez nos confrères de LCI, la secrétaire nationale des Écologistes Marine Tondelier se dit « extrêmement choquée » par la prise de parole de François Bayrou sur TF1 qui « fait perdre du temps à tout le monde ».
« Quand on n’a rien à dire, on ne fait pas un journal télévisé pour faire perdre du temps à tout le monde », estime-t-elle.
Hier à 21h26
Ian Brossat déplore que François Bayrou « demande systématiquement des efforts aux plus fragiles »
Le sénateur communiste Ian Brossat « ne pense pas que la prise de parole de François Bayrou change fondamentalement les choses »
Il déplore sur BFMTV que « le logiciel » du Premier ministre « consiste à demander systématiquement des efforts aux plus fragiles ».
Hier à 21h26
François Bayrou accuse les oppositions d’avoir été en vacances cet été, le RN rappelle qu’il lui a adressé un courrier le 25 juillet
Le Premier ministre François Bayrou a expliqué sur TF1 ne pas avoir contacté les représentants de l’opposition cet été « car ils étaient en vacances ».
Sur ses réseaux sociaux, le groupe Rassemblement national à l’Assemblée nationale rappelle que Marine Le Pen « a adressé un courrier à François Bayrou dans lequel elle demandait formellement à être reçue pour discuter des arbitrages budgétaires annoncés ».
« Un courrier qui est resté sans réponse », déplorent les élus d’extrême droite.
Hier à 21h14
Pour Olivier Faure, François Bayrou est « comptable, avec Emmanuel Macron » du niveau de la dette
Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure estime que François Bayrou est « comptable, avec Emmanuel Macron » du niveau de la dette.
Il explique que les socialistes « présenteront cette semaine un autre chemin pour rompre avec cette logique qui conduit le pays à la misère et à la récession ».
Hier à 21h08
Jean-Luc Mélenchon dénonce « le discours populiste » de François Bayrou qui « effraie et ment »
Sur ses réseaux sociaux, le fondateur de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon dénonce « le discours populiste » de François Bayrou qui « effraye et ment ».
Hier à 20h53
François Bayrou ne « croit pas » qu’une nouvelle dissolution « nous permettrait d’avoir une stabilité »
Sur TF1, le Premier ministre François Bayrou dit « ne pas croire » qu’une nouvelle dissolution « nous permettrait d’avoir une stabilité ».
« Est-ce qu’une dissolution nouvelle nous permettrait d’avoir une stabilité, une volonté, une détermination du pays et de ses gouvernants pour avancer? Je ne le crois pas », estime le chef du gouvernement sur TF1.
Hier à 20h51
François Bayrou « a pris ce risque », car la situation est « suffisamment grave »
Le Premier ministre François Bayrou explique sur TF1 « avoir pris ce risque », car la situation est « suffisamment grave » pour que « le gouvernement entame sa responsabilité ».
François Bayrou se dit prêt à « ouvrir toutes les négociations nécessaires », si un accord est trouvé. À l’inverse, si le gouvernement « tombe », « on aura dit aux Français sans la moindre ambiguïté ‘c’est la vie de la Nation qui est en jeu' », selon le Premier ministre.
Hier à 20h42
François Bayrou insiste sur la nécessité « d’un accord », plutôt que « passer en force »
« Ma conviction est qu’il faut qu’il y ait un accord, nous ne pouvons pas passer en force », estime François Bayrou chez nos confrères de TF1.
Hier à 20h40
François Bayrou dénonce « l’assemblage » entre LFI, le RN et le PS alors « qu’ils sont antagonistes sur tous les sujets »
Le Premier ministre François Bayrou dénonce sur TF1 « l’assemblage » entre LFI, le RN et le PS alors « qu’ils sont antagonistes sur tous les sujets ».
« C’est cet assemblage-là qui dit: ‘nous allons renverser le gouvernement’. Est-ce que c’est bien pour la France? », s’interroge le chef du gouvernement.
Ce dernier invite « les parlementaires à réfléchir » à « l’addition des voix » entre « l’extrême droite et l’extrême gauche ».
Hier à 20h39
François Bayrou se dit « prêt à discuter mesure par mesure »
Sur TF1, François Bayrou se dit « prêt à discuter mesure par mesure ». Le Premier ministre précise être prêt « à discuter sur tous les sujets sauf sur un: l’effort qu’on doit faire pour sortir du surendettement ».
« Cet effort est conséquent », poursuit le chef du gouvernement.
Hier à 20h35
François Bayrou n’a pas contacté les représentants de l’opposition cet été « car ils étaient en vacances »
François Bayrou n’a pas contacté les représentants de l’opposition cet été « car ils étaient en vacances ». Le chef du gouvernement va recevoir les chefs de parti et présidents de groupe ce lundi. « Il reste 12 jours, c’est très très long pour parler », estime-t-il sur TF1.
Hier à 20h32
François Bayrou estime « ne pas pouvoir a priori aujourd’hui obtenir la confiance » des députés
Chez nos confrères de TF1, le Premier ministre François Bayrou estime qu' »aujourd’hui, a priori, on ne peut pas obtenir la confiance » des députés.
Selon le chef du gouvernement, c’est « sur le bilan de la situation » économique « que les députés doivent voter » le 8 septembre.
Hier à 19h07
La députée LFI Danièle Obono estime que « celui qui doit faire un choix politique, c’est Emmanuel Macron »
Pour Danièle Obono, députée LFI de Paris, « celui qui doit faire un choix politique, c’est Emmanuel Macron ».
Elle ajoute: « Nous sommes prêts à aller aux élections s’il faut. Quel est le problème aujourd’hui? Il apparaît de plus en plus clairement que le problème c’est un homme qui a décidé de s’asseoir sur le résultat des urnes, qui continue de vouloir mener la même politique. »
Selon la députée, « une fois que, le 8 septembre, une majorité vote contre François Bayrou, la question sera Emmanuel Macron et sa démission ou sa destitution ».
Hier à 18h44
Mobilisation du 10 septembre: pour Bruno Retailleau, « ça pourrait générer une grave crise financière »
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau estime, auprès du Figaro, qu’une grande mobilisation le 10 septembre est « pire que tout, parce que le pays doit avancer ».
Pour lui, « si le pays devait être bloqué, ça pourrait générer une grave crise financière ». Il en appelle donc « à la responsabilité de chacun » et ajoute que « la démocratie sociale, ce n’est pas la chienlit que veulent les Insoumis ».
Hier à 18h41
Le député Écologiste et social Pouria Amirshahi appelle à ce qu’Emmanuel Macron « nomme quelqu’un de gauche » à Matignon
Pouria Amirshahi, député Écologiste et social, appelle à ce qu’Emmanuel Macron « nomme quelqu’un de gauche » à Matignon. « Quand au lendemain des élections, le président de la République décide continuer à gouverner comme avant alors qu’il subit un désaveu, le pays se trouve bloqué. »
Hier à 16h30
François Bayrou va recevoir les chefs de parti et présidents de groupe dès lundi
François Bayrou va recevoir les chefs de parti et présidents de groupe parlementaire à partir de lundi prochain, a appris BFMTV de Matignon, confirmant une information du Parisien.
Hier à 15h52
Edouard Philippe qualifie le choix de François Bayrou de « pari risqué » et craint une dissolution « inéluctable »
Edouard Philippe estime que François Bayrou a fait un « pari risqué » en sollicitant un vote de confiance des députés.
« Je crains que la dissolution, si la confiance n’est pas votée, finisse par devenir inéluctable », a-t-il ajouté.
L’ancien Premier ministre a qualifié de « très juste » le constat du chef du gouvernement sur l’état des finances publiques. « Il faut réduire le déficit », a-t-il insisté.
Le chef du parti Horizons a également annoncé que ses députés « voteront la confiance » à François Bayrou.
Hier à 15h09
Tondelier estime que « la question » de la destitution d’Emmanuel Macron « se posera » s’il ne nomme pas un Premier ministre de gauche
« Si (Emmanuel Macron) continue de plonger le pays dans l’instabilité en refusant de nous nommer, la question de sa destitution se posera », déclare dans une vidéo publiée sur X Marine Tondelier.
La cheffe des Ecologistes appelle à « préparer ensemble une alternative de gauche et écologiste » en cas de dissolution de l’Assemblée.
Hier à 14h56
Le président du Medef appelle les politiques à « dépasser leurs rivalités »
« Les décideurs politiques doivent dépasser leurs rivalités mais ça n’en prend pas le chemin », lance le président du Medef Patrick Martin à l’ouverture de la 7e Rencontre des entrepreneurs de France.
Le représentant des patrons français s’est dit « consterné » par « les premières réactions politiques » à l’annonce par le Premier ministre François Bayrou qu’il se soumettrait le 8 septembre à un vote de confiance à l’Assemblée nationale. Elles « surajoutent à notre inquiétude et nous éloignent de l’acte offensif indispensable au rétablissement de notre pays », a-t-il lancé.
Patrick Martin a aussi mis en garde contre la tentation de surtaxer les plus riches, une mesure réclamée par la gauche et envisagée par François Bayrou. « On ne peut pas appeler à plus de production le matin, et taxer encore plus les actionnaires l’après-midi », a-t-il estimé.
« Je veux être clair, quelle qu’en soit la forme, un retour de l’ISF serait ravageur pour notre économie, et nous nous y opposerons », a-t-il insisté.
Hier à 12h46
Le maire de Lyon réclame « un Premier ministre de l’arc de la gauche et de l’écologie »
Sur BFMTV, le maire (Les Écologistes) de Lyon Grégory Doucet explique qu’il aurait voté contre la confiance au Premier ministre s’il était député.
Il juge d’ailleurs qu’il « nous faut un Premier ministre de l’arc de la gauche et de l’écologie ».
Hier à 12h43
« Il ne faut pas se dire déjà vaincu »: les mots du président de la République à ses ministres (info BFMTV)
Alors que l’ambiance est morose au sein de l’équipe gouvernementale depuis l’annonce d’un vote de confiance à venir le 8 septembre prochain, qui scellera très probablement l’avenir de François Bayrou à Matignon, Emmanuel Macron a tenu à remotiver les troupes ce matin.
« Il ne faut pas se dire déjà vaincu », a lâché le président de la République lors du conseil des ministres, selon les informations de BFMTV.
Hier à 12h36
Le gouvernement souhaite « reprendre les rênes de notre destinée », un « message fort aux marchés financiers »
Les membres du gouvernement vont « continuer à pousser tous les projets qui étaient les nôtres, des sujets très importants qui arrivaient à la rentrée », assure Sophie Primas.
« Il faut reprendre les rênes de notre destinée (…) c’est un message fort aux marchés financiers », assure la porte-parole du gouvernement.
Hier à 12h33
« Ni déni de réalité ni catastrophisme »: Emmanuel Macron met les partis politiques face à leur « responsabilité »
Selon la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, le chef de l’État « n’a pas repris le mot du chaos, il souhaite en revanche reprendre le terme de responsabilité en disant à l’ensemble des partis politiques qu’être d’accord avec un constat c’est une responsabilité ».
« Ni déni de réalité, ni catastrophisme », a martelé cette dernière lors de son point presse après la conseil des ministres.
Hier à 12h30
« Il n’a pas été question de scénario post 8 septembre » lors du conseil des ministres assure Sophie Primas
La porte-parole du gouvernement affirme qu’il « n’a pas été question de scénario post 8 septembre » si la réponse de l’Assemblée nationale est négative et qu’elle ne vote pas la confiance au Premier ministre.
« On a beaucoup parler de combativité, de convaincre », assure Sophie Primas.
Hier à 12h27
Le gouvernement « est évidemment combatif » assure Sophie Primas
Selon la porte-parole du gouvernement, l’exécutif « est évidemment combatif » malgré la menace de sa chute.
« Il ne s’agit pas des personnes de ce gouvernement, il s’agit d’un enjeu qui nous dépasse et qui a attrait à la souveraineté et à la solidité de notre pays, dans un moment où il y a des crises et une conjonction de crise assez importante », explique Sophie Primas.
Hier à 12h23
Emmanuel Macron apporte son « soutien total » à la « démarche » de François Bayrou, selon la porte-parole du gouvernement
Sophie Primas assure lors du point presse suivant le conseil des ministres que le président de la République a apporté son « soutien total » à la « démarche » de François Bayrou, « selon laquelle il faut qu’on se mette d’accord sur la nécessité de retrouver une trajectoire des finances publiques plus conforme avec l’idée que nous nous faisons de notre souveraineté budgétaire ».
Pour l’heure, aucune prise de parole officielle devant les Français n’est prévue.
Hier à 12h19
« C’est un vote de lucidité »: Emmanuel Macron apporte son soutien à François Bayrou
Le président de la République a déclaré lors du conseil des ministres que la confiance qui devra être accordée ou non à François Bayrou et son gouvernement « est un vote de lucidité et de responsabilité ».
« Nous ne devons être ni dans le déni ni dans le catastrophisme. Nous avons réussi à redresser les finances publiques entre 2017 et 2019, tout en créant des emplois et en baissant les impôts. Le défi peut-être relevé », assure Emmanuel Macron.
Le chef de l’État a aussi confié à ses ministres que « c’est un vote sur le constat, et sur les principes, ce n’est pas un vote sur le budget et cela donne la possibilité ensuite de négociations. »
Hier à 12h12
Sophie Primas prône que « la raison » de chaque parlementaire l’emporte « sur les postures politiciennes »
La porte-parole du gouvernement prône que « la raison » de chaque parlementaire l’emporte « sur les postures politiciennes » dans les discussions autour du budget.
« L’enjeu du vote du 8 septembre (…) est ‘sommes-nous prêts à agir ensemble pour la France et les Français », estime cette dernière.
Sophie Primas réaffirme que les mesures proposées par le gouvernement sont « très largement amendables et modifiables ».
Hier à 11h47
Fin du conseil des ministres, l’exécutif quitte le palais de l’Élysée
Après environ 1h45, le conseil des ministres est terminé et ses membres sont en train de quitter le palais de l’Élysée.
La porte-parole du gouvernement va prendre la parole dans quelques instants pour son compte-rendu.
Hier à 11h45
« Un plan Bayrou ni fait ni à faire », Henri Guaino dénonce le racket et l’escroquerie des Français
L’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy à l’Élysée estime sur BFMTV le budget 2026 actuel comme « un plan Bayrou ni fait ni à faire ».
« Vous croyez vraiment qu’on résoudre les problèmes de la France en rackettant les malades, en escroquant les retraités? On tape sur ceux qui travaillent, on tape sur ceux qui ont travaillé », fustige l’ancien député.
Hier à 11h31
En cas de dissolution, LFI proposera « des candidatures uniques » avec ceux « qui sont restés fidèles au programme du NFP »
La présidente du groupe insoumis à l’Assemblée nationale a indiqué hier soir dans un entretien à Mediapart qu’en cas de dissolution les Insoumis proposeront « des candidatures uniques avec toutes celles et ceux qui ont voulu censurer la politique de Macron et qui sont restés fidèles au programme du NFP ».
« Il n’y a qu’une gauche de rupture qui puisse battre l’extrême droite », avance Mathilde Panot.
Hier à 11h09
Le conseil des ministres se poursuit, la valse des potentiels successeurs à Matignon a débuté
Depuis environ une heure, le conseil des ministres a débuté au palais de l’Élysée autour d’Emmanuel Macron et François Bayrou.
Mais en coulisse, alors que le départ forcé de ce dernier est de plus en plus probable, les premiers noms du successeur du locataire de Matignon commencent à être égrenés: Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin ou encore Bruno Retailleau.
Hier à 09h47
Le patron du Medef opposé à la suppression de deux jours fériés et trouve « choquant de dire ‘vous allez travailler plus sans être payé plus' »
S’il assure être conscient qu’il faut « travailler plus », le président du Medef assure ce matin sur France info être opposé à la suppression de deux jours fériés évoquée par François Bayrou.
« C’est vrai que c’est choquant de dire à des salariés ‘vous allez travailler plus sans être payé plus' », juge Patrick Martin.
Hier à 09h02
En cas de dissolution de l’Assemblée, Boris Vallaud ne juge « pas concevable » un accord entre le PS et LFI
Le chef des députés socialistes Boris Vallaud estime dans Libération qu’un accord programmatique entre le PS et LFI tel que celui négocié avec le NFP en 2024 n’est « pas concevable » en cas de dissolution de l’Assemblée nationale.
« Vu les désaccords importants avec La France insoumise », qui a notamment scandé lors de ses universités d’été à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme) « tout le monde déteste le PS », « un accord programmatique tel qu’on a pu le connaître l’année dernière ne paraît pas concevable », juge le patron des Socialistes au palais Bourbon.
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Hier à 08h51
« Je me battrai jusqu’au bout » assure la ministre du Travail
Alors que la chute du gouvernement Bayrou semble inévitable le 8 septembre prochain, Catherine Vautrin avance qu’elle se battra « jusqu’au bout ».
Hier à 08h46
« C’est un des éléments de la copie, mais pas le seul »: Catherine Vautrin pas opposée à une participation des très haut revenus
Demander un effort aux plus hauts revenus? La ministre du Travail considère que « l’effort doit être fait par tout le monde » sur BFMTV-RMC.
« Vous ne réglerez pas le problème uniquement avec les très haut revenus (…) C’est un des éléments de la copie, mais pas le seul », estime la ministre.
Hier à 08h42
La ministre du Travail « n’était pas au courant » de la décision prise par François Bayrou
Catherine Vautrin, la ministre du Travail, assure sur l’antenne de BFMTV-RMC qu’elle a découvert l’idée du vote de confiance par François Bayrou au moment de son discours.
« Je n’étais pas au courant, aucun membre du gouvernement à ma connaissance n’étaient au courant », explique la membre du gouvernement.
« Tout est toujours possible », estime la ministre qui est « prête à discuter de chaque » élément de ce budget.
Hier à 08h10
François Ruffin estime qu’Emmanuel Macron est « l’homme du chaos »
« L’homme du chaos, c’est Emmanuel Macron », lâche le député François Ruffin sur RTL.
« Un chaos social installé avec les gilets jaunes, les réformes sur les retraites, un chaos budgétaire », ou encore « un chaos politique », avec « une dissolution improvisée », liste l’ancien insoumis qui siège désormais avec les écologistes à l’Assemblée nationale.
« L’honneur réclamerait qu’il pose sa démission, qu’éventuellement il se présente à nouveau devant les Français pour réclamer leur confiance », estime encore François Ruffin.
Hier à 08h03
Gabriel Attal « ne croit pas » qu’une nouvelle dissolution puisse clarifier la situation politique française
L’ancien Premier ministre Gabriel Attal « ne croit pas » qu’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale puisse clarifier ou stabiliser la situation politique française.
« Si on se demande chaque année s’il faut que les Français revotent, c’est peut-être que le problème ne vient pas d’eux pas de l’Assemblée. Ce n’est pas aux Français de régler les problèmes de l’Assemblée », juge le secrétaire général de Renaissance.
Hier à 08h00
Gabriel Attal considère qu' »il y a toujours un chemin » pour obtenir un budget
La négociation est-elle toujours d’actualité? « Il y a toujours un chemin », assure Gabriel Attal qui veut « se battre » en discuttant avec l’ensemble des forces politiques.
« Il faut qu’on s’y mette tous », assure la patron des députés Renaissance.
Hier à 07h57
Le « moteur France est en surchauffe » estime Gabriel Attal
Face à « un modèle dépassé », le « moteur France est en surchauffe » estime sur France Inter Gabriel Attal.
« On veut faire tourner le pays de 2025 avec un modèle issu de 1945 », s’interroge l’ancien Premier ministre
Hier à 07h54
Les députés Renaissance voteront pour la confiance au Premier ministre
Sur France Inter, Gabriel Attal réaffirme que les députés Renaissance voteront la confiance au gouvernement de François Bayrou le 8 septembre.
Hier à 07h49
La décision de François Bayrou était « étrange et inattendue » selon la porte-parole du gouvernement
Si elle assure que le gouvernement ne cherche pas « à mettre la panique en France », la porte-parole de l’exécutif rappelle quand même sur TF1 que la chute du gouvernement Barnier « nous a coûté 12 milliards et on en cherche 44 aujourd’hui, alors que les taux d’intérêts étaient inférieurs à ce qu’ils sont aujourd’hui ».
La décision de François Bayrou est d’ailleurs jugée comme « étrange et inattendue » par la porte-parole du gouvernement
Hier à 07h46
Sophie Primas « ne fait pas de politique fiction » et botte en touche sur une nouvelle dissolution
Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, botte ce matin en touche sur TF1 concernant la possibilité de redonner la parole aux Français avec une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, réclamée par l’opposition.
« Je ne balaie rien du tout, je ne fais pas de politique fiction. Toute l’expression des partis politiques est possible (…) La liberté de parole dans ce pays est préservée », assure cette dernière.
Selon elle, le gouvernement reste concentré sur une mission: « convaincre les Français » et leur expliquer que la « situation est difficile budgétairement (…) on arrive au pied du mur ».
« Si moi je n’y crois pas, qui y croit? », interpelle la porte-parole de l’exécutif.
Hier à 07h35
« Bayrou prépare déjà son Pau de départ », ironise sur sa Une le Canard enchaîné
Opération « Hari-kiri », « vote de confiance perdu d’avance »… Le Canard enchaîné tacle aujourd’hui avec un jeu de mots le Premier ministre sur sa Une.
« Bayrou prépare déjà son Pau de départ! », ironise le journal satirique.
Hier à 07h19
Boris Vallaud estime que « la logique voudrait que le président de la République laisse sa chance à la gauche »
Dans un entretien au journal Libération, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale réitère son appel à « changer de Premier ministre » face à « l’échec d’une politique désavouée par les électeurs il y a un an ».
« La logique voudrait que le président de la République laisse sa chance à la gauche, mais Emmanuel Macron nous a montré à quel point il est imprévisible », juge Boris Vallaud.
Hier à 07h07
François Bayrou inquiète les entrepreneurs
En raison de contrats publics gelés dans l’attente de l’évolution de la situation politique, les entrepreneurs sont inquiets.
« Pour nous, cabinets de conseils, quand on a des gels de projets c’est chiffre d’affaires en moins immédiatement (…) ça pourrait certainement déboucher sur des plans de licenciement et des plans sociaux »
Hier à 06h38
Un conseil des ministres plongé dans l’incertitude
À peine rentré, déjà parti? Le gouvernement se réunit pour la première fois depuis la rentrée politique à 10 heures ce matin pour le conseil des ministres au palais de l’Élysée.
Retour de vacances agité: les membres de l’exécutif se retrouvent deux jours après l’annonce par le Premier ministre François Bayrou qu’il engagera le 8 septembre devant l’Assemblée nationale la responsabilité de son gouvernement sur l’endettement de la France et le cap budgétaire à fixer pour 2026.
Pour que François Bayrou puisse demander la confiance de l’Assemblée, une délibération du conseil des ministres est nécessaire.
La porte-parole du gouvernement Sophie Primas tiendra sa traditionnelle conférence de presse en fin de matinée à l’issue du Conseil.
Hier à 06h15
SONDAGE BFMTV. Plus de 7 Français sur 10 ne souhaitent pas que François Bayrou obtienne le vote de confiance
Deux jours après la conférence de presse de François Bayrou, plus de 7 Français sur 10 (72%) ne souhaitent pas que le Premier ministre obtienne le vote de confiance qu’il a proposé aux oppositions la veille, comme le révèle un sondage Elabe réalisé pour BFMTV.
Le chef du gouvernement n’a pas l’opinion publique de son côté: seuls 27% des personnes interrogées disent espérer que François Bayrou soit maintenu en fonction par les députés.
À rebours du discours alarmiste de l’exécutif, la plupart des sondés considèrent que la chute du gouvernement ne serait « pas problématique pour la situation économique et financière du pays » (22%) ou que cette situation « est déjà très grave (et) ne peut pas être pire » (51%).
>> Lire l’article en intégralité
Hier à 06h10
Sandrine Rousseau appelle Emmanuel Macron à « nommer un Premier ministre issu du NFP »
Sandrine Rousseau a appelé Emmanuel Macron mardi soir sur le plateau de BFMTV à « respecter les urnes » et « nommer un Premier ministre issu du NFP ».
« J’attends qu’Emmanuel Macron fasse quelque chose qui semble aujourd’hui extraordinaire mais qui est pourtant dans l’esprit de la Ve République », a-t-elle ajouté.
Hier à 06h00
« Le chaos » ou « la responsabilité »: François Bayrou lance un ultimatum aux Français
Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré à l’annonce faite par François Bayrou d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale le 8 septembre.
Hier, devant l’université d’été de la CFDT, le Premier ministre a estimé que les Français ont « 13 jours » pour choisir entre « le chaos » ou « la responsabilité ».
De son côté, le président du Rassemblement national Jordan Bardella a affirmé que le RN a demandé à Emmanuel Macron un « retour aux urnes » soit en prononçant une « dissolution » de l’Assemblée nationale, soit en remettant sa « démission ».
Plus mesuré, le PS « n’espère pas la dissolution » et « n’appelle pas à une démission » d’Emmanuel Macron.