« L’objectif à terme est d’avoir un agent formé à accompagner les victimes de violences sexistes et sexuelles (VSS) dans chaque lieu public de Strasbourg », ambitionne Nadia Zourgui, élue municipale chargée de la tranquillité publique.
Pour l’heure, la Ville veut lancer son premier réseau de lieux refuges d’ici la fin 2025. L’objectif est de trouver dans les toilettes publiques, l’accueil du centre administratif, les musées et autres médiathèques au moins une personne habilitée à accueillir les victimes de VSS.
Parce que comme le rappelle l’élue : « Ces violences ne se manifestent pas qu’en pleine nuit à l’abri des regards mais aussi dans l’espace public au milieu des usagers. »
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Dix-huit agents volontaires de 10 directions de la Ville formés
Pour l’instant, 18 agents volontaires de 10 directions différentes de la Ville ont été formés par le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles du Bas-Rhin (CIDFF 67). Sa directrice, Anne Matteoli précise que « l’ensemble des agents de la Police municipale sont formés depuis 2024 ».
Céline, l’une d’elles, ajoute : « Nous réagissons désormais mieux face aux victimes et nous pouvons aussi faire dans la prévention, notamment dans les manifestations étudiantes. » Les lieux refuges seront identifiés par des logos et des visuels dévoilés prochainement.