Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap’ pour vous aider à y voir plus clair et briller à la machine à café.

La Commission nationale d’investiture des Républicains a confirmé jeudi soir la candidature de Michel Barnier pour la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris (21 et 28 septembre 2025). Cette décision marque le retrait de Rachida Dati, désormais officiellement investie par LR pour les municipales de 2026 à Paris.

Si ce retrait peut sembler un recul, il s’apparente surtout à une victoire stratégique pour la ministre de la Culture. En renonçant à un affrontement direct avec Michel Barnier, elle s’assure le soutien unanime de son parti pour la conquête de l’Hôtel de Ville, tout en imposant son autorité face aux tentatives de dissidence ou de contrôle de sa liste. Confrontée à une droite parisienne divisée, à la concurrence interne de figures comme Clément Beaune ou Francis Szpiner, et aux affaires judiciaires qui la visent, Rachida Dati confirme son image « d’insubmersible ».

L’intersyndicale au complet (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa et Solidaires) se réunit ce vendredi à 8 heures au siège de la CFDT à Paris pour discuter d’une date d’une mobilisation unitaire en septembre. Une conférence de presse est prévue dans la foulée, à 10 heures.

Initialement programmée à lundi prochain, cette réunion a été avancée à la suite de l’annonce d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale le 8 septembre. « La situation politique et celle du pays ont nécessité une rencontre plus rapide », avaient précisé les organisateurs. Au menu des discussions : trouver une date de mobilisation alors qu’un collectif a déjà appelé à bloquer tout le pays le 10 septembre.

Le tirage au sort de la Ligue des champions a réservé un programme explosif aux clubs français. Le PSG devra affronter le Bayern Munich, le FC Barcelone de Lamine Yamal, Tottenham et Newcastle dans une phase de poules qui s’annonce comme un véritable parcours du combattant. Même les équipes en reconstruction comme l’Atalanta, Leverkusen ou le Sporting Portugal restent des adversaires dangereux.

L’Olympique de Marseille, qui retrouve la C1, n’a pas été mieux servi avec le Real Madrid, Liverpool, Newcastle et l’Ajax. Si le Vélodrome promet des ambiances brûlantes face aux cadors européens, les déplacements en Belgique et aux Pays-Bas risquent aussi de tendre le calendrier des Phocéens.

L’AS Monaco, enfin, devra composer avec Manchester City, la Juventus et le Real Madrid, tout en enchaînant de longs voyages jusqu’en Norvège pour défier Bodo Glimt et à Chypre face au Pafos FC. Un défi sportif et logistique qui pourrait peser lourd sur la dynamique monégasque.