«  En avril 2024, j’ai été violée par un militant d’une organisation politique de gauche en Loire-Atlantique. » C’est par ces mots que « Breakgurl » (un pseudonyme) entame une longue confession dans laquelle elle évoque donc un « viol » commis par un camarade et, surtout, son ostracisation du parti dans lequel elle était investie. « Des gens savaient, mais n’ont rien dit », déplore-t-elle.

Quant à son agresseur présumé, s’il a été officiellement « suspendu » puis « exclu », c’est avant tout par les instances nationales, qui se sont emparées de l’affaire. Localement, semble-t-il, c’est plutôt la recherche d’un compromis qui prédominait. D’où la bombe qu’a représentée le billet publié le 16 juin dernier sur le Club de Mediapart intitulé « De militante à victime : quand la culture du viol g…

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