EXCLUSIF – Visé par une plainte tardive pour violences conjugales, le chef médiatique prépare sa défense. Le Figaro a eu accès à des éléments qui mettent en exergue la complexité du dossier.

L’amour au temps des réseaux sociaux ? Tout le monde se donne en spectacle et, si la flamme s’éteint, en pâture. La plainte qui vise depuis peu le cuisinier Jean Imbert, amplifiée par une avalanche de «posts» en tout genre, est de celles qui posent de multiples questions sur les violences faites aux femmes, le voyeurisme, la présomption d’innocence et la marge de manœuvre de l’institution judiciaire confrontée à des faits anciens.

L’une de ses anciennes compagnes, Lila Salet, l’accuse de violences et d’une brève séquestration lors d’un séjour à Florence. Trois autres femmes, dont une ex-Miss France, font état de comportements qui, s’ils étaient établis, relèveraient clairement de la correctionnelle. La reine de beauté Alexandra Rosenfeld affirme notamment que le chef médiatique lui a cassé le nez d’un coup de tête.

Une longue liste de griefs

Tout commence en avril par la publication d’un article dans ELLE. Au terme d’une longue enquête, deux journalistes accumulent les témoignages à charge contre Jean Imbert…

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Le Figaro

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