Après une année 2024 marquée par deux ruptures ligamentaires au genou, Mickaël Capelli retrouve enfin le chemin du terrain.Le simple fait de rechausser les crampons et de goûter aux contacts des matchs de préparation est déjà une victoire pour le deuxième ligne de la Section Paloise. Il ne s’en cache d’ailleurs pas. « Le terrain, c’est ce qui manquait le plus », déclare le joueur de 28 ans.
Encore loin du rythme de croisière, un genou trop fragile
Malgré l’enthousiasme, le joueur traîne toujours des séquelles physiques. Avec une pointe d’humour, il décrit son genou comme celui « d’un vieux », sujet à des gonflements récurrents selon les conditions. « Quand la charge est trop rude, il gonfle. Quand le terrain est trop sec, il gonfle. Quand il fait froid et qu’il pleut, il gonfle », confie Mickaël Capelli dans des propos rapportés par Sud-Ouest.
Capelli ne se voile pas la face. La raideur est bien là et les automatismes ne sont pas encore revenus. Mais pour lui, l’essentiel est ailleurs. Dans cette phase de reconstruction, il ne cherche pas la performance immédiate. « Ça facilite le retour parce que la fin de saison a été bonne. Le groupe vit bien, est heureux, rigole et travaille en prenant du plaisir. Donc forcément quand on se retrouve dans ces conditions-là, on ne peut que se régaler », ajoute-t-il.
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Pour résumer
Capelli rejoue après deux ruptures ligamentaires en 2024. Son genou reste fragile, sujet aux gonflements selon les conditions. Encore loin du rythme, il mise sur le plaisir et la dynamique du groupe pour retrouver ses sensations avec la Section Paloise.
