Aryna Sabalenka pour­suit sa tournée outre‐Atlantique.

En effet, la Biélorusse s’est imposée dans la nuit face à l’Espagnole Cristina Bucsa 95e mondiale, sur le score de 6–1, 6–4.

 En confé­rence de presse d’après-match, elle est revenue sur la posi­tion de force qu’elle ressent au sommet du clas­se­ment WTA :

« Je pense que la pres­sion fait partie de nos vies ; c’est normal de vivre avec. Bien sûr, il est essen­tiel de se concen­trer sur les aspects posi­tifs. J’apprécie vrai­ment d’être numéro 1 mondiale, de ressentir cette pres­sion, mais je travaille aussi très dur pour en être là. Pour moi, il est essen­tiel de me concen­trer sur mon jeu et de toujours essayer de produire mon meilleur tennis, d’être sur le terrain et de me battre. Si j’y parviens, je sais que j’aurai mes oppor­tu­nités. Pour moi, c’est une vie agréable tant qu’on aime son travail. Être numéro 1 mondial ouvre de nombreuses portes : on rencontre des gens formi­dables, on commence à colla­borer avec de nombreuses marques ; c’est la beauté de ce sport. Être l’un des meilleurs joueurs vous donne l’occasion de rencon­trer des person­na­lités inspi­rantes et d’apprendre des choses au‐delà du tennis. »

Des décla­ra­tions qui illus­trent bien que la place de numéro un mondial dans le tennis est à la fois une source de satis­fac­tion et une respon­sa­bi­lité, fruit d’un travail constant, qui mène non seule­ment à la réus­site spor­tive mais aussi à des oppor­tu­nités extra‐sportives.

On retrou­vera Aryna Sabalenka en quarts de finale face à la Tchèque Marketa Vondrousova, pour une place en demi‐finales.