Si les poissons de la Loue avaient été plus bêtes, Rodolphe Carrasco ne serait pas devenu peintre. « Sitôt que j’avais un moment de libre, j’allais à la pêche, se souvient-il, je me disais que quand je serais à la retraite, je pourrais y aller tous les jours, du matin au soir. Mais quand on est tout seul, la pêche du matin au soir, c’est vite lassant. Et je me suis aperçu que les poissons devenaient plus malins que moi. »
Une rencontre capitale sur le marché dolois
Rodolphe…