Battu par Jannik Sinner au premier tour de Roland‐Garros (6−4, 6–3, 7–5) et par Carlos Alcaraz en huitièmes de finale de l’US Open (7–6[3], 6–3, 6–4), Arthur Rinderknech a expliqué à Eurosport ce qui faisait selon lui la diffé­rence entre les deux meilleurs joueurs actuels et les autres. 

« Ce n’est pas évident de les jouer. L’équation est assez diffi­cile parce qu’ils ont réponse à tout et ils te prennent à la gorge d’en­trée. Tu as l’im­pres­sion de subir un raz‐de‐marée, ce qui n’est pas toujours le cas avec les autres joueurs. Ils sont un cran au‐dessus physi­que­ment et tennis­ti­que­ment. Un petit détail que j’ai ressenti avec Carlos, c’est que par moment j’ar­rive à mettre des bonnes frappes en place qui me permet­traient contre tous les autres joueurs de rece­voir une balle plus courte. Mais contre Sinner et Alcaraz on prend une contre‐attaque et on est tout de suite en défense, et c’est nous qui recu­lons. J’ai l’im­pres­sion qu’ils ont un coup d’avance sur nous. »