Le premier roman d’Adèle Yon s’est déjà écoulé à 160.000 exemplaires et va être traduit dans plus d’une dizaine de langues. Une prouesse pour la maison fondée par Adrien Bosc, désormais dans le giron d’Editis.

Une couverture sobre et mystérieuse aperçue sur les réseaux sociaux, sur la plage, et, évidemment, en très bonne position sur les étals des librairies… Plus discret que La Femme de ménage, la trilogie phare de Freida McFadden, best-seller incontesté de l’année, Mon vrai nom est Élisabeth, premier roman d’Adèle Yon paru aux Éditions du Sous-sol le 6 février dernier, est l’autre carton de cet été.

La normalienne et chercheuse en études cinématographiques de 31 ans y mène l’enquête sur le destin de son arrière-grand-mère Élisabeth, dite Betsy, diagnostiquée schizophrène dans les années 1950. Porté des critiques élogieuses, ce roman à la lisière du récit de soi et de l’essai s’est écoulé à plus de 160.000 exemplaires, soit, à titre de comparaison, davantage que celui de l’acteur Raphaël Quenard, Clamser à Tataouine (140 000 exemplaires), autre sortie très médiatisée du printemps. Il s’apprête, selon nos informations, à être traduit dans plus d’une dizaine de langues et aurait reçu des marques…

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Le Figaro

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