Quand la série de casses aux scooters bélier a secoué le centre-ville de Nantes en novembre dernier, Bassem Asseh, premier adjoint à la mairie de Nantes, avait rencontré des commerçants touchés.  Il faut garder à l’esprit que ça n’arrive pas tous les jours , veut-il d’abord rappeler.  Mais quand ça arrive, on travaille avec les commerçants pour trouver des solutions. 

Cela peut passer par l’installation de bancs, comme devant la pharmacie du Vieux Doulon, de bacs de fleurs ou d’arceaux pour vélo devant les vitrines, de caméras.  Ce n’est pas forcément pour empêcher les scooters bélier. De manière générale, on aménage l’espace public avec le regard des habitants, des commerçants, mais aussi de la police nationale. 

Par ailleurs, Nantes métropole prépare un document écrit avec les forces de l’ordre  pour informer les commerçants sur les bons réflexes à avoir en cas d’incivilité et d’insécurité .