Par

Nicolas Zaugra

Publié le

9 sept. 2025 à 17h28
; mis à jour le 9 sept. 2025 à 17h29

Enfin une annonce de candidature. L’ancien président de l’OL et chef d’entreprise Jean-Michel Aulas va mettre fin au faux suspense après une pré-campagne de plusieurs mois en annonçant officiellement sa candidature aux municipales 2026 de Lyon lors d’un grand meeting. 

Un premier grand meeting le 26 septembre

L’événement est prévu vendredi 26 septembre au H7, une salle du quartier de la Confluence dans le 2e arrondissement, a révélé Tribune de Lyon, une information confirmée à actu Lyon par le collectif « Génération Aulas ». Au moins 1 200 personnes sont attendues au premier événement officiel de campagne du candidat « sans étiquette » déjà officiellement soutenu par Les Républicains. « Il y aura du monde », assure un membre du collectif.

Le néo-candidat va déclarer sa candidature et dévoiler des premières mesures municipales. L’occasion pour lui de mesurer l’intérêt des Lyonnais à sa candidature. Dans plusieurs sondages parus ces derniers mois, Jean-Michel Aulas est donné en tête des intentions de vote au 1ᵉʳ tour devant le maire sortant et candidat, l’écologiste Grégory Doucet. 

Selon nos informations, de nouvelles prises de parole du futur candidat sont encore envisagées ces prochains jours sur plusieurs thématiques. 

Une alliance avec Renaissance attendue

Après son accord très commenté avec Pierre Oliver et Les Républicains mis en scène le 4 septembre avec Laurent Wauquiez, un deal est aussi attendu avec Renaissance. Un déplacement à Lyon de Gabriel Attal dans les prochains jours pour annoncer un accord est attendu.

Jean-Michel Aulas affirme : « J’ai signé des accords avec la plupart des partis qui vont du centre à la droite. Si je me présente, ce sera sans étiquette et en essayant de faire l’union de la gauche à la droite. »

Après ce meeting, Jean-Michel Aulas devrait rentrer dans le grand bain de la politique avec des déplacements, des rencontres avec les habitants sur les marchés. Cette semaine, son principal adversaire Grégory Doucet a qualifié Aulas de « candidat de la droite ». Son parti, Les Ecologistes, va plus loin et dénonce la « droite extrême ».

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