« C’est un privi­lège pour le tournoi que le président d’un pays, quel qu’il soit, soutienne le tournoi et le tennis », avait déclaré Carlos Alcaraz à propos de la présence de Donald Trump pour la finale de l’US Open où il était opposé à Jannik Sinner. 

Conscient d’être désor­mais une person­na­lité impor­tante et parti­cu­liè­re­ment épiée, l’Espagnol a reconnu qu’il pesait désor­mais le moindre mot, surtout quand les ques­tions concernent la poli­tique ou des sujets d’actualité. 

« Je suis conscient que mes propos peuvent être large­ment ampli­fiés. Si vous dites quelque chose qui n’est pas mal vu, mais que vous ne le dites pas avec les mots appro­priés, cela peut vous causer des problèmes. J’essaie simple­ment de faire très atten­tion à ce que je dis et à la manière dont je le dis, car souvent, quand on est énervé parce qu’on a perdu ou parce qu’on a passé une mauvaise journée, il est parfois diffi­cile de mesurer ses mots. J’essaie de toujours m’ex­primer avec respect et fair‐play. »