« Non à la fermeture de classe » ou « École en danger », pouvait-on lire sur le drap déployé sur la grille, à côté d’un drapeau français. Les familles s’opposent aux classes de 26 et 27 élèves, qu’ils estiment surchargées.

« Nous sommes mobilisés pour l’avenir de nos enfants. Nous devons être soudés, ne nous énervons pas », annonçait Hamza, délégué suppléant des parents d’élèves.

Tension palpable lors du blocage

Face au portail clos, la tension était palpable alors que certains parents n’avaient pas été prévenus de la manifestation. Si certains d’entre eux, à l’instar d’Elerif, se disaient « solidaires », d’autres étaient plus remontés. « Ce blocage, ça me met en colère, peste Yamina, qui emmène sa petite-fille, élève de CM2. Je soutiens le mouvement, mais pas de cette manière. Après, je ne comprends pas pourquoi l’Académie a changé ma petite-fille d’école cette année pour la mettre ici si les classes sont surchargées. »

Même sentiment chez Emma, dont le fils est en CP, qui, bien que surprise par le rassembl…