Pierre Richard dans le Journal de 20h sur France 2
Capture d’écran / France Télévisions
VIDÉO – Le comédien et réalisateur français était l’invité du Journal de 20H sur France 2 jeudi soir. Il en a profité pour démentir les diverses rumeurs dont il fait l’objet sur les réseaux sociaux.
Ce jeudi 11 septembre, Léa Salamé a choisi de commencer son interview du 20 Heures sur France 2 avec humour : «D’abord, comment allez-vous ?» Son interlocuteur, Pierre Richard, laisse échapper un rire avant de répondre. «Bien», assure le comédien, l’air un peu surpris. La présentatrice poursuit : «Vous savez pourquoi je vous pose cette question ? Parce qu’il y a quelques jours, sur les réseaux sociaux, vous avez posté ça.» Le 27 août dernier, l’homme de cinéma se moquait depuis son compte X d’un article qui le décrivait comme «affaibli».
«Je viens d’apprendre par un journal qu’à 91 ans je suis affaibli, au point de renoncer à une partie de ma carrière. Pourtant, je suis en pleine promotion de mon dernier film L’Homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme, j’enchaîne avec une tournée de ma pièce de théâtre et me prépare à tourner un autre film», écrivait l’homme de 91 ans. «Merci au journal de m’avoir prévenu. J’annule tout et je file à l’hôpital de ce pas.»
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En plateau, un nouveau rire lui échappe. «Et encore, là, je m’en tire bien ! Ça fait trois fois que je lis sur les réseaux sociaux que je suis mort», souligne l’éternel grand blond avec une chaussure noire. «Alors là, je ne m’en plains pas, je ne suis pas encore mort. Tandis que ça fait plusieurs fois qu’on m’annonce ma mort, avec des détails ! Je me souviens de la troisième annonce, où j’étais mort à 21h20, sur scène, comme Molière.»
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Léa Salamé s’interroge alors : «Ce n’est pas vrai ! Qu’est-ce que ça vous fait de voir ça ? Parce que là, je souris, mais en réalité c’est terrible.» Pierre Richard confie que ces rumeurs provoquent une certaine frustration chez lui. «Sur le moment, ça m’énerve», avoue-t-il. «Puis j’ai vu, le lendemain, au travers de mon copain qui s’occupe de mes réseaux sociaux, que j’ai eu “Quel dommage, je l’aimais tellement”… Je suis le seul type vivant qui voit déjà tout ce qu’on pense de lui, ce que vous ne saurez jamais après… Personne, sauf moi !»