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«La Suisse est tout en haut de la pile des dossiers», a expliqué lors d’un point de presse à Berne David McAllister, président de la délégation de la Commission des affaires étrangères du Parlement européen. Nous voulons approfondir la relation.» Le démocrate-chrétien (CDU) allemand était accompagné de cinq collègues pour une visite de deux jours en Suisse. L’occasion de mener des échanges avec des collègues suisses, des ministres, des secrétaires d’Etat, des représentants des cantons ainsi que les milieux économiques. Le dernier exercice du genre remontait à 2011.

«Le climat est bien plus favorable qu’en 2021 lors de la rupture par Berne de l’accord-cadre, affirme Christophe Grudler, l’eurodéputé libéral français (Renew Europe) qui est par ailleurs rapporteur pour la Suisse. «Le courant de sympathie envers la Suisse est à présent bien réel, ajoute-t-il. Mais nos collègues veulent voir le détail du paquet d’accords négocié avec la Suisse. Et ce n’est pas gagné d’avance.» Christophe Grudler présentera un rapport intermédiaire en octobre sur les «accords bilatéraux III» qui fera ensuite l’objet d’une résolution. Le Parlement européen pourrait ratifier les textes à l’horizon de l’automne 2026.