La suite après la publicité

Les fans de Véronique Jannot se feront sans doute une joie de retrouver la comédienne de 68 ans sur le canapé rouge de Michel Drucker dans Vivement dimanche ce 14 septembre 2025. L’occasion de revenir sur son parcours et le grand changement qui a bouleversé sa vie tout récemment : l’adoption de son deuxième enfant, un garçon prénommé Nyima. C’est en mai dernier qu’elle avait annoncé la nouvelle à l’occasion de la fête des Mères sur Instagram. “Nyima est entré officiellement dans la famille. Maman, deux fois, qui l’eût cru ?” avait-elle indiqué en légende d’une photo d’elle avec son fils. Il semblerait donc que la famille soit au complet, l’actrice que l’on a notamment vue dans la série Pause Café ayant également adopté Migmar, une tibétaine orpheline en 2014

Elle expliquait un peu plus tard que ce garçon, présent dans sa vie depuis huit ans déjà, avait un lien particulier avec sa fille adoptive : il s’agit du “cousin Germain de Migmar, qui a un an de plus qu’elle, mais qui fait déjà partie de la famille depuis huit ans qu’il est arrivé en France. On fêtait déjà Noël et les anniversaires ensemble depuis son arrivée. Je m’en occupe depuis qu’il est là. J’ai simplement officialisé ce qui existait déjà : j’ai réuni la famille” racontait-elle à Télé-Loisirs.

De grands enfants donc qui font leur vie de leur côté, mais qui se font sans doute un plaisir de retrouver Véronique Jannot dans sa maison du Sud de la France où elle est installée depuis de nombreuses années.

Véronique Jannot partie de rien pour s’installer dans le Var

Comme de nombreuses célébrités aujourd’hui, le rythme de Paris et son intensité donnent bien des envies d’ailleurs à une grande majorité de ceux qui y habitent. Dans une interview accordée en 2008 au blog La Jasette, Véronique Jannot n’y allait pas par quatre chemins : “J’étouffe face à l’indifférence générale. Nous sommes tous semblables, tous ensemble, mais personne ne fait attention à l’autre. Les grandes villes sont vite des ‘tue l’âme’, des ennemis. J’ai souvent hâte de retrouver ma maison dans le sud en pleine campagne, où la liberté est plus réelle, où l’on peut vivre avec moins d’interdits, garer sa voiture au gré d’un sentier sans rappel de panneaux, sans créneau.” 

Si cette situation est toujours d’actualité, Véronique Jannot a donc échappé à Paris pour son plus grand bonheur. Son installation était pourtant loin d’être officielle à l’époque. C’est sur la commune de Salernes qu’elle avait jeté son dévolu et elle partait de rien : « J’ai acheté une bergerie en ruines et un terrain en friche il y a 40 ans. Et, petit à petit, j’ai construit ma maison. Je me suis fait mon petit paradis. Toutes les odeurs et l’herbe de là-bas font partie de mon cœur» confiait-elle à Nice-Matin en 2023. Une propriété pour laquelle elle s’était d’ailleurs endettée comme le précisait Libération en 2006 mais qui fait toujours son bonheur des années plus tard. D’autant que sur son terrain, Véronique Jannot “cultive des arbres fruitiers, des oliviers aussi, dont elle récupère 30 litres d’huile auprès de la coopérative” expliquait également le quotidien. Une vie qui fait effectivement rêver.