Ils sont 31 graffeurs parmi les meilleurs artistes de la discipline à être réunis durant deux jours pour remettre en couleurs le mur de 900 m² situé le long de la voie ferrée, boulevard du Colombier. Un rassemblement qui se déroule tous les deux ans depuis la création du festival d’art urbain rennais par Mathias Orhan et son complice Patrice Poch en 2013.
(Le Télégramme/Erwan Miloux)
« Le Wall of fame est un peu exceptionnel par sa taille et connu dans le monde du graffiti. C’est un chouette moment où les artistes peuvent se retrouver et rencontrer le public » explique Mathias Orhan alias Brez, l’un des directeurs artistiques du festival Teenage Kicks. En deux jours les graffeurs venus de toute l’Europe dont le Danois Swet ou encore l’Italien Opium, ont joué de la bombe pour redonner une nouvelle vie au Wall of fame.
(Le Télégramme/Erwan Miloux)
Le festival des arts urbains se poursuit jusqu’au 12 novembre avec au programme des expositions, des performances, du cinéma ou encore des balades à vélo à la rencontre du street art dans les rues de la ville.