Concrètement, jusqu’à douze réacteurs modulaires avancés (AMR), qui utilisent de l’hélium pour leur refroidissement, pourraient être construits à Hartlepool (nord-est de l’Angleterre). La société américaine X-Energy doit signer un accord de coopération avec la firme britannique Centrica. Par ailleurs, l’entreprise américaine Holtec prévoit de construire des centres de données dans le Nottinghamshire alimentés par de petits réacteurs modulaires (SMR), selon la chaîne CNBC.
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré lundi que les deux pays bâtissaient « un âge d’or de l’énergie nucléaire » qui les placerait également « à la pointe de l’innovation mondiale ».