Le maire-président de Montpellier, Michaël Delafosse, partage cette analyse. “Montpellier ne peut pas rester la seule grande ville sans contournement. Il faut défendre ce projet, car aujourd’hui, ce sont 45 000 véhicules qui passent chaque jour sur l’avenue de la Liberté, devant les fenêtres des habitants des Cévennes, Figuerolles, la Martelle ou la Chamberte. On ne peut pas continuer à leur imposer ce trafic de transit », a-t-il insisté.