Imaginez la scène: vous vous faites une joie de déboucher une bouteille de vin rouge amoureusement choisie chez votre caviste préféré. Un coup de tire-bouchon plus tard, catastrophe : le nectar espéré empeste l’écurie ou le vestiaire d’après match de rugby. Le cuir, le camphre, et la sueur, surtout.
Une contamination dans les chais
Inutile d’incriminer le bouchon (on ne parle pas d’odeur de liège), ni davantage le vigneron. Le coupable est une levure baptisée Brettanomyces…