Boule à facettes resplendissante au soleil, la géode de la station d’épuration de Marseille a ouvert ses portes à un public restreint samedi 20 septembre. Installée sur le parvis du stade Vélodrome (8e), elle est la seule partie apparente des plus de 2 000 km du réseau souterrain du Seramm (Service d’assainissement Marseille Métropole), filiale de Suez qui assure le bon fonctionnement des ouvrages de collecte, de traitement des eaux usées et la gestion des eaux pluviales du territoire.
En descendant l’escalier en colimaçon, les visiteurs arrivent directement dans la Vitrine des savoir-faire, où ils sont attendus autour d’une collation. Pour le Seramm qui n’a pas accueilli de public depuis le Covid-19, c’est l’occasion « de présenter le dessous des cartes, de montrer l’invisible. Et de parler des métiers de ce service qui embauche plus de 400 personnes sur le territoire », rappelle Nicolas Cotiche, directeur général du Seramm.
Une visite par les professionnels
Et qui de mieux pour parler de leur métier que les concernés ? Le groupe découvre petit à petit les sept pôles de la Vitrine des savoir-faire avec Noélie Maschio, ingénieure au sein de la station. La jeune femme guide les curieux e…