EN BREF

  • Mareva Del Toro, 21 ans, franco-mexicaine, couronnée dans
    les Yvelines, vise Miss France 2026.
  • Elle est étudiante à l »ESSEC et aspire à travailler dans
    le marketing cosmétique.
  • Son lien familial avec Guillermo del Toro pourrait
    influencer sa carrière cinématographique.

Une nouvelle prétendante au titre suprême vient de faire son
entrée dans la course à Miss France 2026. La franco-mexicaine de 21
ans, fraîchement couronnée dans les Yvelines, nourrit de grandes
ambitions et un rêve précis : devenir la troisième Mareva à
décrocher l’écharpe tricolore.

Un prénom prédestiné et des origines surprenantes

La
jeune femme née le 4 novembre 2003 à Poissy n’a pas été
baptisée par hasard. Ses parents ont choisi son prénom en hommage à
Mareva Georges et Mareva Galanter, respectivement Miss France 1991
et 1999. « J’espère devenir la 3e Mareva Miss France », confie-t-elle
avec le sourire.

Cette brunette aux yeux marron mesure 1,78 mètre et cache une
filiation artistique inattendue. Sa mère Estela lui a transmis la
nationalité mexicaine ainsi que le patronyme Del Toro. Un nom qui
ne vous dit rien ? Il s’agit pourtant du même que celui du célèbre
cinéaste Guillermo del Toro, cousin direct de sa génitrice. Une
connexion hollywoodienne qui pourrait bien ouvrir des portes à la
belle, qui avoue rêver de cinéma : « Bien sûr, c’est un rêve, ça
serait génial ! »

Une étudiante ambitieuse aux multiples projets

L’étudiante de l’ESSEC Business School termine actuellement sa
quatrième année d’études supérieures. Après avoir effectué sa
scolarité à l’école internationale de l’Ermitage à
Maisons-Laffitte, puis au Lycée Jean-Paul II à Sartrouville, elle
prépare désormais son avenir professionnel avec détermination.

Son objectif est clair : « Travailler en marketing dans le
secteur de la cosmétique ou de la parfumerie, mais j’ai aussi de
l’attrait pour le monde de l’entrepreneuriat. » Une vision qui
témoigne de sa maturité, qualité qu’elle revendique d’ailleurs pour
justifier sa candidature tardive. « Il faut déjà avoir une
certaine maturité pour se présenter. J’ai attendu d’être sur le
point de finir mes études. Je ne voulais pas brûler les
étapes », explique-t-elle.

Le défi Miss Île-de-France en ligne de
mire

La candidate des Yvelines sait qu’elle peut compter sur le
soutien indéfectible de sa famille. « Ce soutien a été très
important pour moi. Je suis sûre que sans eux, je n’aurais pas pu
remporter l’élection », reconnaît-elle. Cette solidarité
familiale prend tout son sens quand on apprend que sa mère et sa
tante ont toutes deux remporté des concours de beauté par le
passé.

Désormais marraine de l’association Aidons la recherche, qui
lutte contre le cancer du sein, la nouvelle Miss Yvelines endosse
ses responsabilités avec sérieux. « Être Miss, c’est être un
exemple. À présent, il y a des petites filles et des femmes qui
vont s’identifier », déclare-t-elle. Son prochain objectif ?
L’élection de Miss Île-de-France, programmée le 20 septembre 2025 à
Dammarie-les-Lys. Une étape cruciale avant l’ultime
consécration.

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