Aux côtés de la France, le Royaume-Uni et le Portugal ont décidé hier (21 septembre 2025) de sauter le pas, alors que s’ouvre aujourd’hui la 80ème session de l’Assemblée Générale des Nations unies. Le sujet ne fait pas l’unanimité en Europe… où l’on compte des pionniers comme la Suède qui, dès 2014, a reconnu la Palestine, sans oublier les pays de l’ancien bloc soviétique…

L’Espagne se présente aujourd’hui comme un des fers de lance de la cause palestinienne. Dès 2024, Madrid a pris position. Portée par une opinion publique très engagée qui a même fait dérailler, cette année, la dernière étape de la course cycliste de la Vuelta pour porter son message. Avec le soutien du Premier ministre.  

Diane Cambon a rencontré des militants très offensifs lors des fêtes d’Oviedo au nord-ouest de l’Espagne.

 

Au Royaume-Uni une démarche historique

Et après des années d’hésitation, le Royaume-Uni a finalement annoncé hier (21 septembre 2025) la reconnaissance de la Palestine. Une décision à la portée historique quand on sait que Londres est à l’origine de la déclaration Balfour de 1917 en faveur de la création d’Israël. À Londres, Marie Billon. 

 

Le Kosovo, un État musulman proche d’Israël 

Petit État au sud de la Serbie qui n’est reconnu que par 110 États dans le monde, il sait qu’il doit sa survie aux États-Unis… d’où son alignement pro-israélien. D’autant que son ennemi, la Serbie, est historiquement proche de la Palestine. Mais cet engagement est de moins en moins accepté par la population. Les explications de notre correspondant à Pristina, Louis Seiller.  

 

La communauté turque d’Alsace au musée

Donner une place dans un musée d’histoire régional, à l’histoire des populations issues de l’immigration, c’est la nouvelle direction que s’est donnée le musée alsacien de Strasbourg  en pleine rénovation. Il s’est lancé dans une vaste collecte d’objets du quotidien de la communauté turque. Très présente dans l’Est de la France… Reportage signé  Wyloën Munhoz-Boillot.