Des intox de ce genre, la Moldavie, petit pays de 2,5 millions d’âmes, qui, jusqu’en 1991, faisait partie des quinze Républiques d’URSS, en est abreuvé depuis des semaines. Leur source ? Moscou, 2 000 km plus au nord, pointent les spécialistes. À l’approche des législatives de ce dimanche 28 septembre, l’espace numérique moldave s’est mué en champ de bataille. Rien d’étonnant : depuis l’accession de Maia Sandu au pouvoir en 2021, Chisinau, la capitale, s’arrime toujours plus à l’Europe.