En vingt-quatre années passées
derrière le micro de TF1, Claire Chazal a couvert de nombreux
événements marquants en tant que présentatrice du
journal télévisé. Parmi eux figure le décès d’Yves
Montand
, survenu il y a 34 ans, le 9 novembre 1991, à l’âge de
70 ans, des suites d’un infarctus. Ce jour-là, la journaliste avait
consacré l’intégralité du JT à l’acteur.

Comme le rapporte Télé-Loisirs, ce lundi 29 septembre, invitée de
l’émission On a du nouveau
sur Novo19, l’ancienne compagne de
Patrick Poivre d’Arvor
est revenue sur celui qui était aussi
chanteur. Alors que le film Moi
qui t’aimais, retraçant l’histoire d’amour d’Yves Montand avec

Simone Signoret
, sort en salles ce mercredi 1er octobre, Claire
Chazal en a profité pour partager une anecdote : l’acteur
l’aurait draguée
peu de temps après ses débuts sur
TF1.

Ce JT spécial où elle a annoncé
la mort de l’artiste


Claire Chazal
a accepté de se replonger dans ses propres
souvenirs liés à l’artiste. Le lien qu’elle entretient avec le
comédien et chanteur dépasse d’ailleurs une simple anecdote
personnelle. C’est en effet elle qui avait eu la lourde tâche
d’annoncer en direct la disparition de l’acteur,
survenue alors qu’il avait 70 ans, il y a maintenant 34 ans.

Une séquence qu’elle n’a jamais
effacée de sa mémoire : « On
avait fait un journal entier ! Je venais d’arriver, le 16 août
1991 », confie-t-elle. Revenant sur l’immense hommage
médiatique rendu à l’époque, elle explique : « Quand il est mort, il a fallu célébrer
l’homme engagé, l’homme amoureux, le chanteur et
acteur, il avait énormément de cordes à son arc. On a décliné tous
ces aspects-là, il n’y avait peut-être pas d’autres choses dans
l’actualité ce jour-là. »

Claire Chazal balance sur Yves
Montand

Peu après avoir pris les rênes du JT de TF1, Claire Chazal avait
attiré l’attention d’Yves Montand, qui semblait avoir eu un coup de
cœur pour elle à travers l’écran : « Deux mois avant il
avait appelé en régie
, ce qui est quand même très rare. Et
il avait dit ‘Mais qui c’est cette petite’,
puisque j’arrivais et comme il draguait absolument
tout le monde, il avait fait une espèce de premier pas ».

« Nous, ça nous était quand même passé au-dessus mais
ça nous avait fait rire aussi », se remémore
la maman de
François
, en précisant : « Quelqu’un avait dû lui donner mon
numéro de téléphone, enfin je ne sais pas… D’ailleurs, je
ne l’ai jamais vu et jamais rencontré
« .