Pas besoin du Robert pour savoir ce qu’est un pilote. Renaissance, le parti du président de la République, vient de s’en choisir un, une en l’occurrence, pour les municipales 2026 à Nantes, et c’est Valérie Oppelt qui a ce redoutable privilège.
L’impossible union ?
L’ancienne tête de liste aux municipales nantaises de 202 a accepté la proposition de Gabriel Attal. Un beau défi, car les turbulences dans les rangs de l’opposition sont belles. Droite et centristes sont incapables de se mettre d’accord à ce jour pour un rassemblement qui, tel Godot, est souvent annoncé, mais se fait désespérément attendre.
Valérie Oppelt parviendra-t-elle à rassembler tout le monde derrière une candidature unique, celle de Foulques Chombart de Lauwe, qui a expliqué qu’il ne s’imaginait pas autrement qu’en numéro un ? Ou bien se résoudra-t-elle à construire une seconde liste pour mars 2026 ? « Tout est ouvert », répond-elle prudemment.