Par
Ivan CAPECCHI
Publié le
9 oct. 2025 à 18h06
Véritable institution à Strasbourg, le restaurant traditionnel Aux Trois chevaliers a été repris récemment par Gilles Egloff, cofondateur du groupe Diabolo Poivre, qui signe là sa première aventure en solo.
Ce jeudi, il a présenté sa vision à l’occasion d’une conférence de presse.
Ne pas changer la recette du succès
Même déco, même équipe en cuisine, même carte, mêmes prix : la première chose qui marque, c’est la volonté du repreneur de s’inscrire dans la continuité. « Quand les gens ont appris que je reprenais ce lieu, beaucoup m’ont dit : ‘J’espère que tu ne changeras rien‘», explique Gilles Egloff sur le sujet.
Les changements sont donc volontairement microscopiques : un changement de vaisselle ici, un œuf mayo rentré à la carte là.
Gilles Egloff, qui a eu un véritable « coup de cœur » pour cet endroit, voulait absolument en garder l’ambiance et ce qui en a fait la renommée.
Gilles Egloff, repreneur du restaurant Aux Trois chevaliers à Strasbourg, a cofondé le groupe Diabolo Poivre. (©Ivan Capecchi / Actu Strasbourg)
Votre région, votre actu !
Recevez chaque jour les infos qui comptent pour vous.
S’incrire
Des classiques de la gastronomie alsacienne
Peut-être se permettra-t-il quelques évolutions de la carte à l’avenir, mais, dans un premier temps, il n’a « pas voulu brusquer les habitudes ».
On retrouve donc les classiques de la gastronomie alsacienne, tels que la choucroute, le jarret braisé, le bibeleskæs ou encore des quenelles de foie. Une carte resserrée, où tout est fait maison ou presque : le baba au rhum n’a pas encore ce privilège, mais ça ne saurait tarder d’après Gilles Egloff.
« La formule déjeuner à 17 € se décline autour d’un plat, d’un soft ou d’un verre de vin et d’un café, du mercredi au vendredi, hors jours fériés », indique un communiqué.
Véritable institution à Strasbourg, le restaurant traditionnel Aux Trois chevaliers a été repris début octobre par Gilles Egloff, cofondateur du groupe Diabolo Poivre, qui signe là sa première aventure en solo. Ce jeudi, il a présenté sa vision à l’occasion d’une conférence de presse. Même déco, même équipe en cuisine, même carte, mêmes prix : la première chose qui marque, c’est la volonté du repreneur de s’inscrire dans la continuité. « Quand les gens ont appris que je reprenais ce lieu, beaucoup m’ont dit : « J’espère que tu ne changeras rien’ », explique Gilles Egloff sur le sujet. Les changements sont microscopiques : un changement de vaisselle ici, un oeuf mayo rentré à la carte là. Gilles Egloff, qui a eu un véritable « coup de cœur » pour cet endroit, voulait absolument en garder l’ambiance et ce qui en a fait la renommée. Peut-être se permettra-t-il quelques évolutions de la carte à l’avenir, mais, dans un premier temps, il n’a « pas voulu brusquer les habitudes ». On retrouve donc les classiques de la gastronomie alsacienne, tels que la choucroute, le jarret braisé, le bibeleskæs ou encore des quenelles de foie. Une carte resserrée, où tout est fait maison ou presque : le baba au rhum n’a pas encore ce privilège, mais ça ne saurait tarder d’après Gilles Egloff. Le restaurant, qui dispose d’environ 50 places en intérieur et la même chose en extérieur, est fermé dimanche, lundi et mardi. Pendant la période du marché de Noël cependant, il ne sera fermé que le dimanche. #restaurant #food#pourtoi
Fermé que le dimanche pendant la période du marché de Noël
Le restaurant, qui dispose d’environ 50 places en intérieur et la même chose en extérieur, est fermé dimanche, lundi et mardi.
Pendant la période du marché de Noël cependant, il ne sera fermé que le dimanche.
Personnalisez votre actualité en ajoutant vos villes et médias en favori avec Mon Actu.