En quelques minutes, elle a arraché les fleurs de la tombe du Soldat inconnu, menacé de rouler sur un policier et en a mordu un autre… Une avocate au « comportement des plus étranges » a été arrêtée jeudi après-midi à Paris, rapporte Paris Match.
Cette femme de 51 ans a d’abord franchi les chaînes entourant la tombe du Soldat inconnu, située sous l’Arc de triomphe, au bout des Champs-Élysées, raconte le magazine. Elle s’en est alors prise aux gerbes de fleurs déposées près de la sépulture rendant hommage aux soldats morts pour la France. Des policiers en patrouille sont rapidement intervenus, provoquant la fuite de l’avocate.
De retour dans son véhicule, la quinquagénaire a menacé de rouler sur un des policiers venu se positionner à l’avant de la voiture pour l’empêcher de démarrer. Ce qui n’a pas empêché l’avocate d’avancer à faible vitesse et de le toucher au niveau des jambes. Extraite de la voiture grâce à l’intervention de renforts, elle s’est vivement débattue et a même mordu un policier au poignet, tout en insultant les forces de l’ordre, précise Paris Match.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Positive aux stupéfiants
Le test de dépistage aux stupéfiants s’est révélé positif. Elle a donc été admise dans une structure psychiatrique. Rattachée au barreau de Meaux (Seine-et-Marne), l’avocate « s’est vue signifier son placement en garde à vue, à délai différé, au regard de son comportement », explique le magazine. Elle devra répondre de « violation de sépulture », « refus d’obtempérer », « violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique », « outrage », « rébellion » et « conduite sous stupéfiants ».
>> Lire l’article de Paris Match.