Des images de l’AFP montraient une file ininterrompue de personnes se dirigeant vers le nord de la bande de Gaza. L’armée israélienne a averti que plusieurs zones restaient « extrêmement dangereuses » pour la population civile.

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Publié le 11/10/2025 00:30

Temps de lecture : 1min

Des populations sur le littoral de la bande de Gaza, en territoires palestiniens, le 10 octobre 2025. (AHMED YOUNIS / MIDDLE EAST IMAGES / AFP)

Des populations sur le littoral de la bande de Gaza, en territoires palestiniens, le 10 octobre 2025. (AHMED YOUNIS / MIDDLE EAST IMAGES / AFP)

Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile, une organisation qui fournit des premiers secours et opérant sous l’autorité du Hamas, a déclaré vendredi 10 octobre que près de 200 000 personnes étaient revenues dans le nord du territoire palestinien depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, à 11 heures.

Des images de l’AFP avait plus tôt dans la journée montré une file ininterrompue de personnes se dirigeant vers le nord du territoire, où l’armée israélienne a averti que plusieurs zones restaient « extrêmement dangereuses » pour la population civile. D’autres personnes sont retournés dans les ruines de leurs maisons à Khan Younès, dans le sud de l’enclave palestinienne, selon des images de l’AFP.

L’armée israélienne a annoncé un repositionnement de ses troupes dans des secteurs de la bande de Gaza ravagée par la guerre depuis deux ans. Mais elle a averti que plusieurs zones restaient « extrêmement dangereuses » pour la population civile. A travers la bande de Gaza, des secouristes ont profité vendredi du cessez-le-feu pour fouiller les décombres. « A Gaza City uniquement, 63 corps ont été retrouvés et transportés à l’hôpital », a déclaré Mahmoud Bassal.