Faustine Bollaert entretient des liens solides avec son
frère, Charles. De lui, on ne sait que peu de choses,
sinon qu »il demeure aux États-Unis.
« Je l’ai vue évoluer, je l’ai vue grandir
devant la caméra de nos parents et la voir devenir
l’animatrice préférée des Français, de la voir commencer sur une
petite émission à 4 heures du matin et la voir maintenant devenir
l’animatrice en prime time », confiait-il l’an dernier,
comme le rapporte
Voici.
Le Français expatrié en Amérique du Nord expliquait
avoir suivi de près la carrière ascensionnelle de sa soeur.
« C’est dingue d’avoir vu tout son parcours. J’ai tout vécu et
je suis hyper fier d’elle et je l’aime à la
folie. » Une manifestation de tendresse qui avait touché en
plein coeur
l’animatrice de Ça commence aujourd’hui.
Faustine Bollaert : qui est « l’homme de sa vie »
?
Si elle ne dit pas avoir retrouvé l’amour après
s’être
séparée de Maxime Chattam, Faustine Bollaert s’exprime à coeur
ouvert sur son frère. Malgré la distance qui les sépare, Charles et
sa soeur nourrissent une relation fusionelle.
« C’est l’homme de ma vie, mon frère »,
résume en quelques mots l’animatrice au micro de l’émission On
refait la télé sur RTL, ce samedi 11 octobre 2025.
Charles affiche un comportement protecteur à son
égard et se soucie de son bien-être, en plus de lui apporter
régulièrement son indéfectible soutien. « Il me couve
beaucoup », confirme
la mère d’Abbie et Peter. De part et d’autre de l’océan
Atlantique, frère et soeur s’envoie des messages tous les jours et
discutent fréquemment par téléphone. « Je pense que c’est
la personne à qui je dis le plus que je l’aime, on
est vraiment très proches. »
Faustine Bollaert : « Il a un peu le
vertige »
A des milliers de kilomètres de l’univers médiatique
dans lequel navigue sa soeur, Charles cultive la
discrétion. « Il est hyper timide,
hyper pudique, il se demande comment je peux m’imposer ça,
mais il est hyper fier », rapporte
la présentatrice des Enfants de la télé au micro d’Eric Dussart
et de Jade.
Un tempérament aux antipodes du sien qui consolide
malgré tout leur relation : « Pour lui, je suis sa petite
frangine […] quand il revient en France et qu’il
se rend compte un petit peu plus encore une fois avec beaucoup
d’humilité, là, il a un peu le
vertige« .