Même Thomas Voeckler, le sélectionneur national, avoue avoir changé son logiciel. Habitué à laisser s’aguerrir les jeunes, Voeckler a compris que l’époque avait changé et que, pour une fois que la France tient un immense espoir, il fallait lui ouvrir tout de suite les portes de la sélection. Et ce n’est pas sa place de meilleur Français aux Mondiaux du Rwanda il y a deux semaines (13e), encore moins son podium européen dimanche, qui va refroidir l’enthousiasme. Place désormais, pour la pépite Seixas, à un premier Monument, le Tour de Lombardie, ce samedi entre Côme et Bergame.