Vendredi 10 octobre, à l’occasion du Festival du film de Londres, Amal Clooney a fait sensation au bras de son époux. Elle était vêtue d’une longue robe pailletée.
Elle scintillait de mille feux sur le tapis rouge londoniens. Vendredi 10 octobre, George Clooney et son épouse, Amal, se sont rendus à la diffusion du dernier film de l’acteur, Jay Kelly de Noah Baumbach qui sera disponible sur Netflix le 25 décembre prochain, lors du Festival du film de Londres. Le couple a fait sensation sur le tapis rouge, notamment la célèbre avocate des droits de l’homme qui portait une longue robe rose bonbon. Sa tenue, signée Tamara Ralph se composait d’un bustier à sequins, dans lesquels se reflétaient les flashs des appareils photos, ainsi que d’une longue jupe à frange en cascade. Pour habiller ses bras, elle avait opté pour un grand châle fait de plumes. De quoi voler la vedette a son mari. Ce dernier portait d’ailleurs un simple et élégant costume bleu, ainsi qu’une cravate assortie par-dessus sa chemise blanche.
George et Amal Clooney lors du Festival du film de Londres. (Londres, le 10 octobre 2025.)
UPI/ABACA
Du rose au rouge
Ces derniers temps, Amal Clooney offre au public un défilé de tenues toutes plus éblouissantes les unes que les autres. Le 29 septembre dernier, elle accompagnait George Clooney au 63e Festival du film de New York. L’acteur était présent pour assister à la diffusion du long-métrage de Noah Baumbach, dans lequel il interprète Jay Kelly, un acteur américain à succès qui se retrouve embarqué dans un road trip en Europe avec son manager, Ron (Adam Sandler). Déjà à ce moment, Amal Clooney avait profité de cet événement pour éclipser son époux avec sa tenue. Elle s’était inspirée des années 1980, en portant une mini-robe bustier rouge, au corsage en velours, ainsi qu’une jupe sublimée de fleurs en 3D. Pour compléter sa tenue, elle avait opté pour une paire d’escarpins rehaussés d’empiècements dorés et transparents. À son bras, George Clooney était vêtu, vous l’aurez deviné, de son habituel costume bleu marine. Comme dit l’adage : on ne change pas une équipe qui gagne.