Apercevoir le drapeau palestinien dans la ville de Grenoble n’a certes rien d’inédit ; on en trouve régulièrement çà et là sur des balcons ou tagués sur des murs de la commune. Depuis le début du conflit à Gaza, de nombreuses manifestations ont également réuni des centaines de personnes à intervalles réguliers dans les rues de la ville. Désormais, les militants rivalisent d’imagination pour hisser le drapeau sur des sites emblématiques.
Après l’avoir peint l’an dernier sur un bâtiment en friche à la Bastille, c’est sur le Néron (un sommet de Chartreuse qui domine l’agglomération grenobloise) qu’il avait été dressé début octobre. Et cette fois, c’est donc sur la tour Perret, à 90 mètres de hauteur, qu’on peut le voir ce dimanche. Nul ne sait encore qui l’a installé et quels risques ont été pris pour l’amener sur cet édifice en restauration fermé au public.
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Seul vestige de l’Exposition internationale de la houille blanche et du tourisme de 1925 qui s’était tenue dans la capitale des Alpes, la tour est en effet en pleine rénovation et doit accueillir ses premiers visiteurs au printemps 2026 , 65 ans après avoir fermé ses portes.