Résumé
Lors de son retour musical sur le plateau de Quotidien, Vanessa Paradis a suscité un accueil contrasté entre soutien fidèle et critiques sévères concernant sa prestation en direct.
Sommaire
Ce lundi 13 octobre, Vanessa Paradis était de retour sous les projecteurs. Invitée sur le plateau de Quotidien pour donner le coup d’envoi de son nouvel album, Le retour des beaux jours, l’artiste de 52 ans est montée sur scène. Elle a en effet interprété « Bouquet Final« , le premier single de ce nouveau projet attendu depuis sept ans. Pourtant, si son retour en musique suscite l’enthousiasme, sa prestation à l’antenne n’a pas été épargnée par la critique — loin s’en faut.
Le retour musical… et la pression du direct
Le contexte était chargé. En promo d’un album coécrit avec Étienne Daho et Jean‑Louis Piérot, Vanessa Paradis affrontait un plateau exigeant, avec les projecteurs, les micros, les attentes. Lorsqu’elle s’est lancée en direct devant un public conquis, elle a d’abord été saluée pour son retour, saluée pour sa bonne humeur, pour cette voix reconnaissable entre mille. Mais très vite, sur les réseaux, le débat s’est délité en critiques virulentes.
Sous une vidéo TikTok de sa prestation publiée, les commentaires affluent : « C’est en quelle langue ? », « On ne comprend rien », « Articule », ou plus cru : « Quel massacre ». Certains internautes vont jusqu’à ironiser : « Si cette chanson était chantée par une inconnue, on l’aurait bénie d’être ignorée ». Le verdict tombe sans ménagement : malaisant, brouillon, étouffé.
Entre empathie et brutalité des réseaux
Face à cette vague de critiques, deux réactions se superposent. D’un côté, les fans fidèles de Vanessa Paradis revendiquent la voix intemporelle, le phrasé unique, la sensibilité toujours présente dans le micro. Mais de l’autre, une partie du public, moins indulgente, réclame une prestation impeccable, sans faille, dans une époque où les standards de la scène semblent presque inatteignables.
Ce climat n’est pas nouveau pour les artistes : dans une ère d’ultra‑exposition, le moindre grain de sable est aussitôt grossi. Mais pour Vanessa, femme de scène depuis l’adolescence, le contraste est particulièrement rude. La musique est subjective — et les réseaux, brutaux.
Mentionnés dans cet article
Sur le même sujet