Un «automne des réformes», avait promis le chancelier. A la place, Friedrich Merz offre actuellement aux Allemands une «saison des embrouilles». Alors qu’il avait juré aux électeurs que sa coalition entre conservateurs (CDU) et sociaux-démocrates (SPD) n’étalerait pas ses querelles sur la place publique comme l’avait fait le gouvernement précédent, les Allemands voient ses ministres et ses députés se chamailler depuis six mois.
Après le couac retentissent de son élection comme chancelier, Merz n’arrive pas à imposer une discipline de gouvernement ni à sa coalition ni à sa propre majorité à l’Assemblée fédérale (Bundestag). Election ratée d’une juge constitutionnelle, absence de ligne commune à Bruxelles sur le maintien du moteur t