Jusqu’à récemment, la Hongrie était membre de la Cour pénale internationale (CPI), qui a émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine pour déportation illégale d’enfants ukrainiens. Plus tôt cette année, le pays s’en est cependant retiré, et ce retrait sera effectif le 2 juin 2026.

Budapest n’avait toutefois pas l’intention d’arrêter Vladimir Poutine. En 2023, Orbán avait déjà déclaré que le président russe pouvait se rendre en Hongrie en toute tranquillité. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, contre lequel un mandat d’arrêt a également été émis, n’a pas non plus été arrêté lors d’une visite en Hongrie.