Un peu écrasé par l’immense partition de Mahler, le concerto pour piano et orchestre, le 20e  au catalogue, n’en laisse pas moins paraître déjà l’intelligence de geste du maestro.

Très resserré autour du piano, violoncelles et altos derrière, premiers et seconds violons se répondant de part et d’autre de l’instrument soliste, le tutti sonne avec beaucoup de moelleux et constitue un matelas de velours pour la soliste Marie-Ange Nguci.

La pianiste franco-albanaise Marie-Ange Nguci en soliste

Malgré…