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Plutôt que le stade de la Rabine et ses 11 303 places (très régulièrement à guichets fermés), le FCG livrera donc ce match de la 11e journée de championnat dans le Roazhon Park (29 778 places), théâtre habituel des matches du Stade Rennais en Ligue 1.
Déjà la saison dernière, alors qu’il évoluait en Top 14, le RC Vannes avait envisagé de se délocaliser dans la grande ville de Bretagne. Sans franchir le pas.
Cette fois, le club dirigé par Olivier Cloarec a saisi l’opportunité. « Après plusieurs entraînements délocalisés aux cinq coins de la Bretagne et le succès populaire de notre match de préparation à Guingamp, cet été face au Stade Toulousain, cette nouvelle étape s’inscrit pleinement dans notre volonté de rapprocher le RCV de tous les Bretons, qu’ils soient supporters de première heure ou curieux de découvrir notre sport », écrit encore le président du RCV.
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« Ce dernier match du bloc, tout le monde a envie de le jouer »
Du côté de Grenoble, avant même que la délocalisation à Rennes ne soit officielle, on l’avait accueilli avec un certain enthousiasme. « C’est une perspective intéressante, avait réagi la semaine dernière Antonin Berruyer. Ce sera la première fois que la Pro D2 sera un dimanche soir, en prime time, c’est intéressant. C’est une belle affiche qui a été choisie. Avec le groupe, on est très content. »
Le 3e ligne et capitaine du FCG ajoutait même : « Jouer au Roazhon Park, ça serait top. C’est un stade magnifique. Moi qui suis amateur de foot, je connais un peu le stade. C’est une belle perspective… même si avant ça, on a des matches importants à négocier. Mais ce dernier match du bloc, tout le monde a envie de le jouer. »
Accessoirement, ce Vannes – Grenoble sera la revanche de la finale 2023-2024 de Pro D2, le 8 juin 2024 à Toulouse (16-9).