L’entreprise fabrique en Allemagne, à Hambourg, des puces ensuite expédiées en Chine, où elles sont conditionnées, avant d’être renvoyées en Europe ou d’autres parties du monde.

Mais Pékin a interdit ces réexportations, faisant rapidement monter les inquiétudes des constructeurs automobiles, qui utilisent massivement les puces Nexperia dans leurs systèmes électroniques embarqués.

Selon la ministre allemande, une solution est en cours d’élaboration. « Il n’y en a pas encore pour l’instant, mais nous y travaillons ». Le gouvernement allemand a pris contact avec le ministre chinois du Commerce afin de rendre l’exportation de semi-conducteurs à nouveau possible.