Résumé
Mélissa, candidate de la Star Academy 2026, est issue d’une famille dont l’arrière-grand-père, condamné à mort en 1957, est devenu un symbole de rédemption catholique.
Sommaire
Le casting de la promo 2025 de la Star Academy est réussi. Et il a le mérite de faire beaucoup parler de lui. Si beaucoup s’interrogent sur la légitimité de certains candidats qui paraissent déjà professionnels et qui sont même connus dans le milieu artistique pour certains d’entre eux, Mélissa, Ambre, Anouk, Jeanne ou encore Sarah et Victor n’en restent pas moins très attachants. Et une récente découverte fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux… Elle concerne la généalogie de Mélissa !
En effet, Mélissa, 19 ans, originaire de Romainville (Seine-Saint-Denis), a rejoint le casting de la Star Academy samedi dernier. La jeune femme est très énergique, et enchaîne les facéties depuis une semaine. Si certains estiment qu’elle en fait peut-être un peu trop, d’autres la trouvent très drôle et toujours de bonne humeur. Mais sa famille n’a toujours pas été aussi joviale et heureuse…
En effet, la famille de Mélissa n’est pas une inconnue. Son grand-père, Gérard Fesch, est un célèbre trompettiste. Reconnu comme l’un des plus grands artistes de sa génération, il a accompagné plusieurs chanteurs de renom, comme Serge Lama, Mike Brant et Frédéric François. En 2009, il a également publié son histoire aux éditions de L’Archipel, dans un ouvrage autobiographique baptisé Mon enfance guillotinée.
Le bisaïeul de Mélissa est un exemple pour l’Eglise catholique
Car depuis plusieurs années, Gérard Fesch enchaîne les plateaux télé et les procédures judiciaires pour une raison plus personnelle : son combat pour réhabiliter la mémoire de son père. En effet, Jacques Fesch, l’arrière-grand-père de Mélissa, a été condamné à mort en 1957 pour avoir tué un policier alors qu’il effectuait un braquage. Mais l’homme est rentré dans la postérité après avoir été guillotiné à l’âge de 27 ans. En effet, pendant ses trois années en prison, Jacques Fesch s’est tourné vers la religion, et plus précisément le catholicisme.
Depuis lors, l’Eglise catholique l’utilise comme exemple de rédemption par la foi. Des lettres écrites par Fesch en prison, alors qu’il se savait condamné à mort, ont été publiées à titre posthume. Les recueils, Lumière sur l’échafaud et Cellule 18, sont toujours disponibles. Depuis 2016, Gérard Fesch tente d’obtenir la réhabilitation judiciaire de son père, mais celle-ci a été rejetée par la cour de cassation en octobre 2024. Mélissa n’a pas connu son arrière-grand-père, mais elle connaît, pour sûr, son histoire sur le bout des doigts.
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