Les murs du Stadium ont tremblé, dimanche dernier. La sixième défaite du FC Metz en huit journées, face à Toulouse (4-0), a suffisamment chagriné Bernard Serin, Frédéric Arpinon… et Carlo Molinari – du haut de ses 92 ans – pour que ces derniers fassent entendre leur façon de penser à des joueurs visiblement dépassés par les événements.

Dernier de Ligue 1 avec deux petits points, le promu semble avoir déjà réservé sa place dans le prochain ascenseur, à 26 journées de la fin du championnat, ce qui constitue une performance en soi. Mais il ne cesse de se répéter, à tort ou à raison – l’avenir le dira –, que la situation n’est pas désespérée et que les concurrents directs ne sont qu’à quatre points. Factuel et incontestable, certes, mais il faudra changer bien des choses pour avoir…