TRIBUNE –  Contre tous les pronostics, le président argentin a remporté une large victoire aux élections de mi-mandat, ce dimanche. Celle-ci est le fruit du succès de sa politique économique et traduit un rejet net pour une gauche qui a conduit le pays à la faillite et à la misère, analysent l’avocat et le député argentin*.

* Santiago Santurio est député argentin de La Libertad Avanza et Santiago Muzio est directeur de la Maison de l’Argentine à Paris.

La Libertad Avanza, le parti de Javier Milei, a remporté dimanche soir une victoire écrasante lors des élections législatives partielles en Argentine en obtenant près de 41 % des sièges sur les 127 mis en jeu (le Parlement argentin se renouvelle par moitié tous les deux ans).

À l’instar de l’élection de novembre 2023, la grande majorité de la presse et des analystes politiques avaient pronostiqué une défaite. Pourtant, Milei a encore gagné.

Ces élections étaient cruciales. Le programme de Javier Milei est fondé sur trois piliers : la défense de la vie, de la liberté et de la propriété. Il veut redonner aux Argentins ce qui leur a été confisqué par une caste politico-médiatique qui a gouverné le pays pendant des décennies.

Pour diminuer le poids de l’État sur les épaules des citoyens, le président Milei a établi une règle d’or frappée au coin du bon sens&nbsp…

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Le Figaro

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