INFO LE FIGARO – Le journaliste militant n’a «aucun élément de solvabilité», selon les récentes conclusions d’un commissaire de justice.

Le journaliste militant Taha Bouhafs, ancien candidat aux élections législatives pour La France insoumise (LFI) en 2017, a-t-il organisé son insolvabilité ? Presque deux ans après avoir été définitivement condamné par la justice française pour injure publique à raison de l’origine envers la syndicaliste policière Linda Kebbab, le Franco-Algérien n’a toujours pas payé les sommes, environ 9000 euros, qu’il lui doit, a appris Le Figaro. Ces sommes recouvrent notamment les dommages et intérêts alloués en première instance et en appel, les frais d’avocats en première instance, en appel et en cassation ainsi que des frais d’huissier.

Selon les conclusions rendues mi-octobre par un commissaire de justice (autrefois appelé huissier de justice), mandaté par Linda Kebbab, Taha Bouhafs n’a «aucun élément de solvabilité malgré toutes les recherches effectuées». Aucune adresse, aucun employeur, aucun compte bancaire et aucun véhicule n’ont pu être trouvés en France. La partie civile a 10 ans pour…

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